Bénéfices, productivité et personnel

^{Les affaires ont toujours été un jeu de chiffres, mais il y a certains chiffres que beaucoup d’entreprises aimeraient pouvoir améliorer.}

^{Seulement 3 % pensent qu’elles ne peuvent pas progresser dans les domaines que nous avons énumérés.}

Alors, à quel niveau se situe le décalage entre l’excellence dans un domaine et la réalisation des objectifs financiers ?
La réponse est simple.

^{Les entreprises ne tiennent pas suffisamment compte du personnel dans le calcul de leurs bénéfices.}

80 % pensent qu’il est possible d’améliorer le recrutement et la fidélisation de personnel talentueux.

Cependant, 20 % seulement considèrent qu’attirer et fidéliser les meilleurs talents est l’une de leur trois priorités essentielles
(Elles sont encore moins nombreuses à considérer la requalification comme un objectif prioritaire.)

Ces chiffres sont inquiétants si l’on considère les problématiques de déficit de compétences, les pénuries de talents et l’augmentation du coût du personnel, et sont plus inquiétants encore si l’on considère que la fidélisation des talents et les pénuries de talents sont les difficultés les plus fréquemment citées, avant même l’impact du COVID-19.

L’illusion du décideur

Le décalage entre les perceptions des employeurs et des collaborateurs autour de la question du personnel suggère également que les organisations pourraient faire beaucoup plus pour donner la priorité à leur personnel et préserver leurs performances organisationnelles à l’avenir.

69 % des décideurs affirment que la mise en place d’une culture d’entreprise positive est une priorité absolue pour l’équipe de direction de leur entreprise, contre 43 % des collaborateurs